Menu
Stress, anxiété, boule au ventre, panique, trouille, angoisse, trac… Quelque soit le nom qu’on y donne, il s’agit de réactions automatiques et involontaires. On ne les contrôle pas. Et malheureusement, il ne suffit pas de se dire « calme-toi » ou « tout va bien » pour les apaiser.
Nous sommes tou·te·s confronté·e·s à des évènements difficiles, qui nous marquent profondément. La plupart du temps, nous allons guérir et cicatriser avec le temps. Mais il arrive parfois que nous ayons besoin d’aide pour défaire les séquelles du traumatisme.
En général c’est quelque chose qu’on a commencé à faire juste pour le plaisir, mais avec le temps on en a de plus en plus besoin, comme si c’était la seule chose qui peut nous soulager, comme si on avait perdu le contrôle et qu’on ne pouvait plus s’en passer. Parfois on essaye d’arrêter, mais on craque, c’est trop dur, on rechute, et on en veut de plus en plus. L’hypnose est un vrai plus pour lutter contre les addictions.
L’escalade, on sait que ça se passe dans les pieds, les bras et les doigts, mais aussi beaucoup dans la tête et les tripes. C’est une activité exigeante pour notre mental, mais comment l’entrainer ? Combien de fois avons-nous entendu ces bons conseils : « n’aies pas peur », « concentre-toi », « détends-toi », sans pour autant réussir à les mettre en pratique ?
En tant que personnes lesbiennes, gays, bi·e·s, trans, intersexes et/ou queer, il peut toujours être difficile de trouver un·e thérapeute. Parce que malheureusement, il est encore fréquent de se heurter aux préjugés et à la discrimination, y compris de la part de soignant·e·s ou d’accueillant·e·s.